Michel GOURINCHAS élu socialiste cognaçais

Ségolène soutient Marie-Line mercredi à Jarnac

Ségolène sera en Charente pour soutenir les candidats du Parti Socialiste. A cette occasion, elle sera à Jarnac à 14 h 45 à l'Hôtel Renard sur les quais pour exprimer son soutien à Marie Line Reynaud.
Cette rencontre est ouverte à tous amis, sympathisants et bien sûr militants.

LES MESAVENTURES DE LA FAMILLE TOUTADROITE : Jean Pierre Trois fois rien soutient l'IntériMaire de Cognac

Et oui, j'aurais dû patienter un peu, Jean Pierre Trois fois rien soutient Jérôme M, le candidat "officiel" de l'UMP. En effet, si l'on en croit la presse d'aujourd'hui, il sera à Cognac le jeudi 7 juin.C'est un coup dur pour Bertrand S, l'ex-jeune premier. Celui que Jean Pierre appelait son "petit frère" a choisi le canal historique de l'UMP.
Mais les soutiens, fussent-ils d'anciens premiers ministres, sont-ils vraiment déterminants dans une campagne électorale ?
En tout cas, cela ne devrait pas apaiser la tension entre les deux élus UMP.

KOUCHNER enfin en accord avec ses idées !

Il y a plusieurs Bernard Kouchner,
    le sincère militant du 1/3 monde quand en 1968, une date honnie par M. Sakozy son nouvel ami, il était au Biafra pour aider les enfants injustement victimes d'un conflit ethnique
    le médiatique "grande gueule" de la cause humanitaire qui était capable de prendre des risques physiques, mais aussi monter des "coups" avec les boat-people ou avec son sac de riz sur l'épaule
    le politique libéral et atlantiste avant d'être socialiste, celui qui a continué la casse de l'hôpital public commencée par Juppé, celui qui a soutenu les américains dans la guerre en Irak, celui qui a soutenu Fillon dans la réforme des retraites alors que des millions de français étaient dans la rue.
Je ne crois pas qu'il ait de grandes difficultés à accepter les ruptures voulues par Sarkozy, idéologiquement il  les approuvait déjà avant. Et puis, attendre encore 5 ans pour espérer une place de ministre quand on a 67 ans ce n'est pas sérieux. A la soupe, à la bonne soupe libérale !

Qu'il soit exclu du Parti Socialiste est bien la moindre des choses. Peut-être devrions nous lui repasser en boucle les discours anti-Sarkozy qu'il a prononcés quand il "soutenait" Ségolène Royal et lui demander où était la sincèrité de ses convictions ?

Bernard Kouchner a rejoint son camp naturel, qu'il y reste !

LES MESAVENTURES DE LA FAMILLE TOUTADROITE : mais qui soutient Jean Pierre Trois fois rien

Les deux candidats UMP, l’intériMaire de Cognac, Jérôme M et l’ex jeune premier Bertrand S se disputent le Jean Pierre Trois fois rien, l’ex-premier ministre.

Le premier annonçait son soutien lors d’une dédicace de livres, voir article précédent, le second les présente photographiés ensemble.

On attend avec intérêt l’expression officielle de l’ancien Premier Ministre !

Alors il faut ensuite se rabattre sur les second couteaux en soutien : Pimi H pour l’intériMaire de Cognac, Jacques B pour l’ex jeune premier.

Pour Pimi H, il n’est pas certain qu’il pèse encore politiquement sur cette circonscription, en tout cas ses « amis » l’auront bien aidé à quitter la politique. On se souvient de l’élection législative de 1997, puis du lâchage lors de sa candidature pour les sénatoriales. Seul, ce jour-là Jérôme M lui était resté fidèle. Ceci explique sans doute cela.

Quant à Jacques B, ex député, quand on rencontre les élus du territoire, quand on sait comment il a mis les comptes du conseil général dans le rouge, à tel point que ses « amis » ont dû le débarquer de son poste, on comprend mieux pourquoi il ne s’est pas représenté. Spécialiste des inaugurations, mais peu présent sur le terrain et absence de tenue régulière de permanences, il n’aura pas beaucoup marqué ce territoire. Il n’est pas certain qu’il soit d’un grand secours et d’un grand soutien à Bertrand S. Ce serait plutôt Jacques B comme le Boulet !

Reste Francis H, l’ex maire de Cognac, que les deux concurrents semblent se disputer, mais qui ne s’est pas encore prononcé. Il faut dire que le soutien à Jérôme M, lors des cantonales ne lui avait pas été d’un grand secours face à Robert R, le maire de Boutiers. Et comment pourrait-il trancher entre ses deux « fils » politiques ?

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Les adhésions au PS de Cognac se poursuivent

On aurait pu craindre que l'échec à la présidentielle remette en cause le mouvement d'adhésions au Parti Socialiste. Non seulement les adhérents 2006 renouvellent leur adhésion mais de nouvelles demandes nous arrivent régulièrement.
Un signe indiscutablement que la mobilisation continue, qu'un espoir existe de mettre une épine dans le pied de Nicolas Sarkozy, que la résistance s'organise avec comme première étape les élections législatives des 10 et 17 juin.
Pour notre circonscription, la mobilisation doit être totale pour permettre à Marie-Line de faire le meilleur score pour le 1er tour et rassembler les voix de gauche et de tous ceux qui ne veulent pas des candidats de droite pour le second tour.

Y'a pas que la politique dans la vie !

Dimanche, nous serons plus de 400 à faire mouliner nos mollets sur la route de l'étape du Tour de France Cognac Angoulême, avec étape à Rouillac.

Ségolène doit continuer à porter le drapeau du PS

J'ai décidé de reproduire ce commentaire de Pierre Raterron. Son analyse est assez proche de la mienne.

Merci chère camarade, Merci Ségolène !...

 

D

écidément, rien ne t’aura été épargné… Dès l’annonce des résultats, ces « messieurs-du-coup-d’après » se sont rués , l’un pour se proposer de                  «  relever le drapeau de la gauche qui est à terre… », l’autre pour se déclarer le champion de la social démocratie… Il ne fallait pas être grand clerc pour déceler leur impatience à en découdre au travers de leur soutien affiché, pendant la campagne bien sûr…

 

Ces donneurs de leçons, si soucieux de l’unité du parti et de ses règles, n’ont pas pu attendre le prochain Bureau National dont pourtant ils sont membres, non, ils se sont exprimés devant les caméras de télévision… Eh oui, ce sont des hommes d’état comme l’était Lionel ce 21 avril 2002 quand il nous quitta avant les législatives pour, quatre ans plus tard, essayer tant bien que mal d’incarner l’homme providentiel, sans y  parvenir... 

 

Nous sommes beaucoup au Parti socialiste à ne croire ni en un homme, ni en une femme providentiels…D’abord parce que nous n���avons pas le culte du chef, comme la droite et c’est tant mieux. Mais aussi, parce que nous avons pris l’habitude de vouloir avoir raison , souvent sans tenir compte  des enjeux et des circonstances…Alors que la droite, il faut bien le constater, se donne les moyens de gagner et réalise sa cohésion, forcée ou pas, face à un enjeu aussi important.

Tu nous as dit : « …Quelque chose s’est levé qui ne s’arrêtera pas ...Ce que nous avons commencé ensemble, nous allons le continuer ensemble. Vous pouvez compter sur moi         pour approfondir la rénovation de la gauche.. » Nous sommes un nombre certain de camarades qui y comptons bien.

 

Mais au terme de cette longue et dure campagne, merci chère camarade, pour ton Pacte Présidentiel, ta sincérité, ton courage, tes convictions, ta pugnacité… et merci Ségolène pour ce que tu es : toi au moins, tu ne fais pas de ce revers une affaire personnelle, tu continues le combat avec nous.

 

                                                                                                          Pierre RATERRON

 Secrétaire Fédéral à la Culture

Et pour cette croisière, M. Sarkozy, merci qui ?

L’élu de 53 % du peuple et de 100 % du Medef est parti chez ses maîtres…
« habiter sa fonction »

D’abord, il a reçu ses commanditaires au Fouquet’s sur les Champs-Elysées.  Ses maîtres, Bouygues, Lagardère, Dassault, tous les chefs du Cac 40, les grands financiers ont eu droit aux premiers frais de bouche du nouveau promu. Il y avait aussi Johnny Halliday lui aussi “de retour” de son dur exil suisse, maintenant que les 378 000 millionnaires français en euros ont cessé d’avoir peur pour leurs baignoires en or.
Le Fouquet's nous dit-on, c'est le dernier "Palace" du groupe Lucien Barrière, premier casinotier de France ( 8000 employés, 39 casinos, 80 restaurants, 13 hôtels) et à ce titre soumis à la tutelle du ministère de l'intérieur, toujours attentif, depuis Charles Pasqua, et le département 92, à ce genre d’activités… C’est d’ailleurs un groupe, nous dit-on aussi, dont le principal actionnaire Dominique Desseigne a pu faire face (avec succès) à des difficultés fiscales et judiciaires suite au montage retenu pour régler la succession de sa défunte épouse Diane, d'origine hongroise.

Ensuite, le nouveau promu, ayant enfin accédé à « la dernière marche » tant convoitée, est parti en avion privé, vers Malte, et puis faire une croisière dans le bateau de 60 m de Vincent Bolloré, à 193 000 dollars la semaine, en famille, pendant que Paris-Match lui fait, en guise de soumission, un numéro spécial de 50 pages. Il paraît que c’est sa « retraite » pour mieux « habiter la fonction présidentielle » : on mesure combien il a besoin d’être « habité », et quelle est son idée de la noblesse de la fonction qu’il s’est fait confier par le peuple.

lire la suite sur le site  : http//: democratie-socialisme.org

SARKOZY le président du MEDEF

On l'avait compris pendant la campagne, la politique de Nicolas Sarkozy s'inspirait pleinement de celle voulue, prônée par le MEDEF.
Les félicitations de Mme Parizot, dès l'élection connue de leur plus ferme soutien, les félicitations également de la CGPME confirmaient qu'une ère nouvelle s'ouvrait pour les patrons contre les salariés et leurs représentants. Et au cas où ces derniers, à savoir les organisations syndicales de salariés ne l'auraient pas compris, les lieutenants du nouveau Président de la République le disent sans ambage : que les syndicats ne viennent pas contester les mesures qui seront prises, puisqu'elles ont été adoptées par les français. On sent dans leurs propos, à commencer par M. Guéant annoncé comme futur secrétaire général de l'Elysée, une pointe de menace.
Il n'est pas certain que les salariés, y compris ceux qui ont voté Sarkozy, soient demain d'accord avec les mesures anti-sociales contenues dans son programme. La vie dans l'entreprise n'est pas nécessairement perçue de la même manière que la vie dans la cité.
Et de ce fait, il est fort probable que des luttes, des grèves, des manifestations interviennent un jour contre les mesures du gouvernement.
On a connu des gouvernements, des chefs de gouvernement, faire les fanfarons et dire que "ce n'est pas la rue qui gouverne". Rappelez vous M. Galouzeau de Villepin et le CPE... Mal lui en a pris.
En même temps on nous parle de dialogue social, nous sommes curieux de voir quel sens ils mettent dans ces mots dialogue et social. Il n'est pas certain que ce soit le même.
Ce qui est sûr c'est que dimanche les salariés ont pris un coup sur la tête, mais ils ne tarderont pas à la relever, tant sur leur lieu de travail que dans les urnes.